14/01/2009

Ineffaçables printemps.


Sur mes mains, à présent, ne coulent que des rides,Outrages de la vie où s’immisce le temps,Les larmes de mes yeux ne sont plus si limpides,S’y estompe l’envol d’ineffaçables printemps.
Et les portes du temps, dans l’aube coutumière,Se fermeront une jour m’offrant l’éternité.

2 commentaires:

  1. Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
    Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
    Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
    Donne-moi tes mains que je sois sauvé .

    Bisous
    Rom

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  2. C'est beau cela .
    Bisouille

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Merci de votre de passage .

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